Je n’ai qu’une seule ambition en faisant de la politique : la faire en étant inspiré par la spiritualité chrétienne !
Je ne ferai donc pas de la politique « au nom de l’Eglise », je n’en suis d’ailleurs pas digne et je n’y suis pas autorisé non plus (n’ayant par ailleurs non plus jamais demandé l’autorisation de l’Eglise). En revanche, je sens un appel profond à m’engager au nom de ces mêmes valeurs chrétiennes pour les plus pauvres, les exclus, les démunis, les personnes blessées de la vie.
Représenter les personnes aisées, les classes sociales qui veulent défendre leurs privilèges acquis, pourquoi pas, mais alors aussi dans une optique de partage et de solidarité. Au fond, mon discours reviendra toujours vers les plus faibles. La veuve et l’orphelin. L’enfant à naitre. La personne âgée, seule, confrontée à la maladie, la solitude et la mort. La personne souffrant d’un handicap. Les isolés. Les incompris.
Je suis venu pour les aider, et les représenter en politique.
Pour cela, je dois me construire spirituellement. Approfondir mes valeurs. Ma compassion. Mon empathie. Choisir la sobriété, si pas même une certaine forme de pauvreté matérielle. Et sans aucun doute, une dépendance à la providence.
Une action politique se nourrit aussi de textes, réflexions, méditations, sur le bien commun, sur les valeurs, le socle sur lequel je veux fonder mon action politique : amour, bien commun, solidarité, respect, dignité.
Je me suis lancé en politique en 1999, à 33 ans , lors des élections législatives.
On ne refait pas l’histoire. Je crois que j’aurais du commencer plus tôt. Mais je m’étais lancé dans la carrière privée dans les assurances distribuée par les banques, la fameuse bancassurance.
En 1996, trois ans auparavant, ont lieu les élections internes à la présidence. Une élection épique, qui verra Charles Ferdinand Nothomb gagner à 24 voix près une élection de près de 40.000 votes exprimés. Au fond de moi-même, j’aimais vraiment les deux candidats.
En 1999, lors des élections législatives, j’obtint le meilleur score des nouveaux / premiers candidats aux élections pour le PSC, avec 2929 voix de préférence, à une place totalement inéligible !
Nous sommes en 2002 et le PSC songe à supprimer son C. Sigle vieux de 56 ans comme le dira George Dallemagne….
Le nom du CHD est évoqué… et nous lançons le CDF , avec l’ancien Ministre Dominique Harmel et l’ancien député Benoit Veldekens. Une extraordinaire aventure, dont je parlerai dans mon livre « ADN Politique’.
Près de 20 ans plus tard, après une longue carrière encore dans la bancassurance, et il est vrai, un passage sur les listes MR pour les élections communales, je déplore la descente et l’abandon définitif de toute référence chrétienne au CDH, référence déjà absente du sigle depuis 2002, mais à présent aussi absente du manifeste du parti.
C’est mon engagement à la présidence du parti, au printemps 2022.
La suite est dans mon livre ADN Politique…
Défendre l’enseignement catholique. Les jeunes sont en crise de valeurs. Ils ne trouvent plus de sens à leur vie. Il est de notre devoir de leur transmettre l’espérance, un message, des valeurs et un patrimoine moral.
La bioéthique doit être inspirée du respect de l’homme et de la nature. Je défendrai la vie et le respect de la personne humaine et de la nature.
Je me bats pour que de part et d’autre de la frontière linguistique, les hommes politiques responsables gèrent de manière efficace et honnête les affaires du pays.
Les grandes initiatives politiques sont souvent issues du monde associatif. C’est un moteur et un lien entre le citoyen et le politique. Ce lien doit être approfondi.
Soutenir les réfugiés et les accueillir. Les conflits armés, des massacres et déplacements de populations conduisent à des drames humains terrifiants. Je m’engage à plaiser pour une aide efficace dans le pays d’origines des réfugiées
Parfait bilingue, travaillant et habitant à Bruxelles, je serai crédible pour me battre contre le séparatisme !